"... Il y a une fascination morbide pour le tueur en série, pour le visage du Mal. Il est l'anti-héros d'aujourd'hui, le croquemitaine de notre enfance cristallisant nos peurs. Je me suis intéressé à cette série, parce que j'écris sur les tueurs en série (Frédérick Rapilly vient de signer un premier roman sur ce thème, Le chant des âmes, aux Editions Critic, NDLR). Bruno Heller a voulu que John le Rouge soit, à la fois, omniprésent et invisible. C'est pourquoi il signe ses crimes d'un smiley, l'une des figures les plus représentées au monde. Bruno Heller voulait que le Mal soit toujours présent. En regardant Le Mentalist, les gens se demandent à quoi il ressemble. Quel est le visage du Diable? Voilà ce qu'ils veulent savoir."
Interview complète, ici :
http://lci.tf1.fr/people/le-mentalist-decryptage-d-un-succes-6655580.html
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